I’m in love.
Je vous peace à la gueule.
BE SELFISH !
Trop de bruit, trop de voitures et de scooters. Sur la terrasse, Musso à la main, ma tête penche. Envie de ? M‘échapper. Pas fuir non, juste m’éclipser, le temps de l’éternité. Rez de chaussée . Les murs tombent. Les fenêtres se brisent laissant comme seuls débris, des brins d’herbe. Les voitures disparaissent, et les tâches d’essence laissées au sol forment des flaques d’eau causées par la pluie . Mon cœur s’emballe. Tous les bâtiments collés les uns aux autres cèdent sur place, et j’aperçois des champs. Une odeur de blés fraîchement coupés vient me taquiner les narines. Le ciel noir de pollution s’éclaircit jusqu’à en devenir d’un bleu paradisiaque. Mes dents serrées se lâchent un sourire craquant, qui refuse de partir. Suis-je seule ? Au milieu de ces champs, de ces oiseaux qui chantent, de ce soleil qui m’illumine, de ces fleurs si colorées .. Je n’entends rien. Juste la symphonie du vent sur les blés. Et puis, ton souffle sur mon oreille, tes mains, aussi légères que des nuages, délicatement posées sur mes hanches, ton regard qui part dans la même direction que le mien.. Mon cœur se calme. (..) Puis s’arrête.
I was the one who would always jump in fisrt, and didn’t think twice to look behind, cause such a good felling (..) Once when I was little.
Yeah I could dream more than, I could believe more than, that the world, could only, get better; I could be free more than, I could pretend more than, that this life, could only show me good times, One when I was little.
There was a time when I trusted everyone, there was no place where I wouldn’t go : spend a day on the Island next to the Baltimore, Oh once when I was a little, Yeah once I was little.
Yeah I could dream more than, I could believe more than, that the world, could only, get better; I could be free more than, I could pretend more than, that this life, could only show me good times, One when I was little.
I used to feel so sure, enventhough they told me, told me I was wrong and I can’t live in a magic world, that the time for me to grow, and I’ve got to live the rest of life when now know I’ve laught enought.
Oh I could pretend more than,and I could believe more than, that the world, could only, get better; Woow I could believe more than,YES I COULD, and I could pretend more than, that this life, could only show me good times, One when I was little.
So he comes the next one, next teen a line, stay as young as you can, for the longest time; Cause those days full black, like a priest’s just passing through, Oh one when I was little.
Les moindres instants de bonheur sont lovés en toi; tu connais toutes les histoires, toutes les chansons, toutes les blessures, et tous les souvenirs.Tu fais notre passé, notre présent et notre avenir. Nous sommes une part de toi, tu es une part de nous. Depuis toujours tu sais reconnaître nos maux, nos peines. Parfois je te blesse, mais j’en souffre aussi. Tu ne tombes jamais, tu es toujours vaillante. Ta beauté et ta bonté dépassent toutes les imaginations.
Joyeux anniversaire, Maman ♥
Il y a une théorie qui dit qu’ à la création du Monde, un œuf s’est divisé en deux. Dans une partie, un homme, dans l’autre une femme; et que cet œuf n’est reconstitué que lorsque les brisures de l’homme correspondent à celles de la femme. On peut donc parler de deux être faits l’un pour l’autre.
Alors ca veut dire qu’un jour, quelqu’un respirera pour moi quand je n’en aurait plus la force, que quelqu’un ouvrira ses yeux quand les miens seront fermés, que quelqu’un, prendra mes mains, quand mes poings seront serrés, que quelqu’un aura la force de me sortir la tête de l’eau quand je ne voudrais que me noyer, que quelqu’un m’offrira sont plus beau sourire pour honorer mes plus belles larmes, que quelqu’un sera capable de m’attendre des heures sous la pluie ou sous une chaleur caniculaire, que quelqu’un aura le courage de rester des heures à ma fenêtre pour m’empêcher de le quitter, que ses mots doux prononcés à mon oreilles me feraient du bien, que quelqu’un, m’aimera si fort, que la fusion de nos corps, ne formera qu’une seule et unique chair. Han.
Cependant, s’aimer se signifie t-il pas non plus se détruire ? Dans ce cas alors, sa respiration m’étoufferait, ses yeux lanceraient des flammes meurtrières dans les miens, la force dont il userait pour ouvrir mes poings et sortir ma tête de l’eau me blesserait, son sourire ferait couler plus abondamment mes larmes, il me reprocherait de l’avoir trop fait attendre, ses mots doux m’écorcheraient, son envie de m’aimer s’effacerait avec le temps jusqu’à ne plus être du tout, et puis finalement, cette théorie ne s’applique qu’à très peu de personnes et chacun n’a vraiment qu’une infime chance de trouver sa moitié.
The Script - The man who can’t be moved
Je veux vous parler d’elle. On traverse ce chemin sinueux ensemble . Ce qui compte c’est l’allure qu’on a, pas l’allure à laquelle on va. Les épaules sur lesquelles on se penche vont et viennent, mais une amie pour la vie, on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit où vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul. Personne ne possède toutes les réponses, et parfois la meilleure chose qu’il nous reste à faire, c’est de pardonner en laissant le passé derrière nous. Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant, et qu’il est toujours possible de se surprendre soit même.
Pour mon Cinquantième article. Et puis voilà.
2OO9, tout repart à neuf. En fait non .
On a trop qualifié notre départ de Muret comme un point d’appui pour une n ouvelle vie. Sauf que pas trop.
A notre vie manquaient tant d’éléments.
2O1O: Lui, pour Maman, et Eux, pour moi.
Oui j’avais des amis, mais là, j’ai trouvés des perles d’or. Ceux qui m’ont offert leur plus beau sourire quand d’autres m’ont tournés le dos. Ceux qui savent me montrer que je compte pour eux. C’est dingue. J’ai les larmes qui montent quand je suis heureuse. Et là je pleure. Parce que, ce bonheur là, c’est trop Wow. Je flotte. Je crève d’envie que Maman trouve une maison comme elle en cherche, qu’on se tire de là, et qu’ Enfin, on ai cette famille qu’on mérite tous. Autant Philou & son fils que Maman, mes frères & moi. C’est juste, Trop Magnifique. Trop HA ! Trop.
C’est là, c’est MAINTENANT, que ma vie est belle. Que je peux le dire. Que j’peux me vanter d’être là. Me vanter d’avoir souffert et beaucoup appris. Qu’enfin, je peux laisser ma tête s’envoler parmis les nuages pour rêver. OH OUI. Laissez moi rêver. Laissez moi atteindre la paradis, dire à Papi à quel point on est bien. Laissez moi vivre mon paradis sur Terre.
Mais toi aussi déjà putain, arrête de tenter de trouver des problèmes, alors que y en a plus.
Laissez nous BORDEL, laissez nous être heureux.
J‘en ai besoin. Comme m’a dit Cécile, écrire c’est plus que bénéfique pour nous.
Chez moi, écrire ca vient comme ça. Faut vraiment pas croire que mes textes se font en un coup de crayon sur une feuille à petit carreau. Oh non. Et pourtant, des millions de sujets différents me traversent l’esprit chaque jour. Une main frôlée, et regard évité, des lèvres pincées, un amour gâché, des messages manqués, des larmes salées,des expressions exagérées, des rires d’épatés, des gens dépités. Un rien, mais pourtant un Tout, me donne des idées. Il me faudrait alors avoir H24 des feuilles & mon crayon Bic, afin de noter tout. Souvent j’ai des phrases qui me viennent, sur un sujet indescis, et dans la seconde d’après, elles disparaissent, et je me retrouve face au vide de la mémoire, qui refuse de me laisser retrouver mes mots. Parfois c’est frustrant. Se dire que cette suite de mot qu’on a trouvé si belle et si parfaite, ne reviendra jamais. C’est ca, c’est frustrant. Comme frigorifiée dans le feu de l’action. Alors le soir, je recherche un thème sur lequel parler, pour me vider la tête déjà trop peu remplie. Et je cherche des tournures, j’écris puis j’efface, je recommence, puis je souris. J’écris, j’écris, j’écris. C’est vital. Peut être que moi j’sais plus m’exprimer autrement que par l’écriture. Que même si mes textes ne valent rien, j’écris et je plane.
Parce que le temps d’un instant, d’un moment, les touches et mon écran deviennent les spectateurs de mes espoirs.
Je vous veux vous, avec vos défauts, vos problèmes de fabrication.
A Agathe, Valentine, Alexis, Carole, Pomme, Amalia, Emi, Bestounet, Ma vieille, BOBBY’, Titi, Marine, Bibi, Frérot, Ma femme, Mery, Céline, Célina, Siv’hour, Romy, Eva, Justine, Paul, Kévin R, Kévin B, Robin, Alison, M.d.m.v., Mathilde H, Mathilde, Manon, Charly, Clara, Laurie, Julie, Hugo, Justine, Cécile,Camélia, Ludo’, Manon, Lesley, Loïc; Raph’, Pauline, Sylvain, Tanguynou, Ornella, Solène, Nawel, Thomas, Tiftif, Wiily, Amandine, Anne-Marie, Daf’, Ben, Tristan, Maxou’, Arthur, Lucas, Reporteer, Alexia ..
Ma femme de mon coeur, j’aimerais t’aider. Comme je t’ai dit, tout ce que tu peux faire c’est oublier. Essayer de penser à autre chose. Y en a qui dorment, y en a qui bouffe.
J’aimerais te prendre la tête dans mes bras, et te laisser tremper mes manches de tes larmes salées.
J’aimerais aussi t’ammener une semaine à Disneyland, histoire de te changer les idées. J’aimerais, remonter le temps, pour pouvoir te faire rire, comme j’y arrivais. J’aimerais, voir un beau sourire, sincère, se dessiner sur tes belles lèvres. J’aimerais faire une soirée comme celle du O7.O3 dernier, et te voir si heureuse. J’aimerais vivre avec toi, pour ne plus jamais avoir à te quitter. Il est partit, pour te protéger. Même si pour ca, il fallait qu’il te détruise. Alors sache que nous, on est là hein. Ma belle. On est là, même si c’est pas H24, mais on est là. Nos mains sont là pour prendre les tiennes, nos lèvres sont là pour sécher tes larmes, nos yeux sont là pour te faire ouvrir les tiens. Notre voix est là pour te faire te lever, nos jambes sont là, pour t’aider à courir, loin.